Démystifier les noms de domaine
Les noms de domaine ont été introduits avec l’arrivée d’internet afin de faciliter la mémorisation humaine des adresses web.
Les noms de domaine ont été introduits avec l’arrivée d’internet afin de faciliter la mémorisation humaine des adresses web.
Plusieurs possibilités s’offrent à nous pour l’utilisation d’un ou de plusieurs noms de domaine. Regardons leur fonctionnement et la meilleure façon de les optimiser.
Les noms de domaine ont été introduits avec l’arrivée d’internet afin de faciliter la mémorisation humaine des adresses web. Un nom de domaine est conçu pour substituer une série de chiffres (adresse IP). Il est beaucoup plus facile de retenir des mots (ex. : symetris.ca) plutôt qu’une adresse IP tel que 93.184.216.119!
Afin de standardiser et de règlementer l’enregistrement des noms de domaine, on a créé ceux de premier niveau, appelé aussi extensions, tels que .com, .ca, .org. Ce (long) processus est géré par les autorités ICANN.
Le nom de domaine constitue le deuxième niveau, qui fait habituellement référence à la compagnie ou l’organisation qui a acheté le nom.
Enfin, au troisième niveau se trouve le sous-domaine (ex. : test.example.com, test.example.ca, test.example.org, etc.). Il n’est pas nécessaire de créer un sous domaine, mais il peut être pratique dans le cas d’un microsite pour indiquer qu’il est relié au site principal.
Plusieurs possibilités s’offrent à nous lors de l’achat d’un nom de domaine :
Il est possible d’enregistrer plusieurs noms de domaine pour une seule entreprise. Cette action dénombre plusieurs avantages :
Dans le cas où nous avons plusieurs noms de domaine utilisés pour un même site web, il est important d’en choisir un principal et de faire en sorte que les autres redirigent vers celui-ci. C’est une des nombreuses façons d’améliorer le référencement de notre site principal. Du même coup, les moteurs de recherche vont traiter l’ensemble des noms de domaine comme un seul et unique site.
Toute une question! En fait, il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse, c’est principalement une préférence. Certains aimeront l’esthétisme d’une courte adresse web (sans www), tandis que d’autres l’adopteront pour identifier clairement que c’est bel et bien l’adresse d’un site.
Peu importe votre choix, il est important d’activer le www au nom de domaine principal (ex. : www.symetris.ca et symetris.ca). De cette façon, les deux adresses vont pointer à un même site.
2014 marque l’entrée en vigueur de nouvelles extensions génériques (ex. : .clothing, .bike, .estate, .menu, etc.). Ce processus répond au besoin grandissant de nouvelles adresses web. Lors du déploiement terminé, nous compterons plus de 700 nouvelles extensions publiques!
Pendant plusieurs années, nous avions un choix restreint d’extensions génériques disponibles (ex. : .com, .net, .org, .info, etc.), les autres étant toutes des extensions nationales (ex. : .ca pour le Canada, .us pour les États-Unis, .eu pour l’Europe).
Aujourd’hui, des extensions commanditées ont vu le jour, qui sont réservées aux organismes uniquement (ex. : .gov, .edu, .mil, etc.).
Récemment, plusieurs organisations ont enregistré une version raccourcie de leur nom de domaine principal afin de pouvoir partager des liens plus courts sur les médias et les réseaux sociaux (ex. : goo.gl, youtu.be, fb.com, rc.ca, lp.ca). Un outil pratique nous étant disponible est Domainr.com, il suffit d’entrer son nom de domaine principal et il nous affichera les possibilités en fonction de ce qu’il est possible d’enregistrer.